La tournée du président de la République à travers le Congo profond comme candidat à sa propre succession a mis à découvert la gestion opaque du DG de l’Office des routes qui malgré les gros moyens mis à sa disposition, les routes nationales sont toujours dans des états impraticables. La goutte d’eau qui a débordé la vase, se trouve être l’impraticabilité des routes dans le grand Bandundu.
En effet, lors de la descente du chef de l’État dans cette partie de la République dans le cadre de sa campagne électorale, il nous revient des sources dignes de fois que l’autorité suprême du pays a été estomaqué de constater que malgré la bagatelle somme de USD 50 millions mis à la disposition du DG Jeannot Kikangala par le gouvernement pour les travaux des routes, rien n’a été fait sur terrain. Ce comportement de Kikangala n’est ni plus ni moins un sabotage contre les actions du Chef de l’État au profit des autres candidats présidents dont Moïse katumbi qui avait critiqué, on se souvient, vertement l’état piteux de la route. D’ailleurs, selon les recoupements fait à ce sujet, il nous revient que le gestionnaire de l’Office des routes aurait fait le tripatouillage sur ce pactole ce qui lui aurait permis d’acheter deux villas en Europe.
Aux dernières nouvelles, il nous revient que malgré les remontrances du chef de l’État, le DG Jeannot Kikangala dit à tout celui qui peut l’entendre que le Chef ne peux rien faire contre lui parce que il contribuerait financièrement à la fondation de la première dame et d’ailleurs tous les services spécialisés seraient dans sa poche.
C’est ici l’occasion d’interpeler le conseil d’administration, l’inspection générale des finances et la présidence de la République d’ouvrir une enquête. Puis que l’action du Chef de l’État dans le grand Bandundu est saboté par ce mandataire.
Bernard Yenga