Les mensonges viennent par l’ascenseur, la vérité par les escaliers mais, elle est têtue.
Les accusations portées contre le Directeur Général de l’organisation des équipements Banana Kinshasa,OEBK , Monsieur Jean Claude Mavambu sur le licenciement abusif de 11 personnes dans l’entreprise qu’il dirige sont fausses.
Après investigations menées par votre rédaction, le DG JC MAVAMBU n’est ni de près,ni de loin concernant ce dossier qui fait parler la toile.
Ses détracteurs ignorant le fonctionnement d’une entreprise publique,lui rend responsable de ce licenciement,or, en réalité ces 11 agents faisaient le cumul entre le secrétariat Général du ministère de Transports et voies de communication et l’OEBK.
Me Didier Mazenga, ministre de transport et voie de communication de l’époque les a demandé de faire le choix entre le secrétariat Général et l’OEBK.
Suite à la non prise de position de ces agents, le ministre de TRANSCOV de l’époque a tranché en les envoyant au secrétariat général, et la correspondance existe. Où est la responsabilité du DG JC MAVAMBU qui reste fidèle à la vision du chef de l’état Félix Antoine Tshisekedi »Le Peuple D’abord ».
Enquête faite, les agents et cadres de l’OEBK saluent depuis octobre 2022, l’avènement de JC MAVAMBU à la tête de cette entreprise considérée comme canard boiteux, aujourd’hui la poule aux oeufs d’or qui attire la convoitise de gens.
Un soit disant opérateur économique sans adresse,ni document légal de l’état congolais ;
à la recherche du marché à l’OEBK ; n’ayant pas rempli toutes les conditions requises pour gagner ce marché, commence à manipuler ces 11 agents licenciés pour saper l’image et les efforts fournis par l’actuel DG de l’OEBK JC MAVAMBU, celui que les agents et cadres de l’OEBK appellent affectueusement »Papa Social ».
N’en déplaise aux détracteurs de JC MAVAMBU car ce dernier reste fidèle à la vision du chef de l’état, qui consiste à consolider les acquis.
Rappelons que le tribalisme n’est pas le lot de JC MAVAMBU car les congolais de toutes les provinces trouvent leur place à ses côtés.
Le Baromètre