Le pasteur Marcelo Tunasi a partagé des mots d’une intensité rare ce jeudi 13 juin sur Instagram, exprimant le déchirement causé par la perte de son épouse Blanche, décédée mercredi dernier en Turquie. Dans une lettre poignante, l’homme de Dieu a confié que le moindre objet du quotidien ravivait la douleur béante du deuil.
Chaque élément rappelant Blanche, même une simple brosse à dents, une tasse ou une photo, déchire profondément le pasteur. Cette vulnérabilité désarmante transparaît dans ses mots, illustrant la profondeur de son chagrin et la difficulté de faire face à cette perte dévastatrice.
On peut imaginer Marcelo Tunasi hanté par les souvenirs de celle qui fut son épouse pendant près de deux décennies, chaque objet laissé en témoignage de leur vie commune ravivant la douleur de son absence. La routine domestique partagée avec Blanche semble désormais vide et dénuée de sens, laissant le pasteur dans un état de profonde tristesse.
“Tout ce qui me rappelle Blanche, une brosse à dents, une tasse, une photo, un souvenir, une décoration et surtout nos enfants, me déchire au plus haut point”, a-t-il écrit.
Le pasteur a exprimé sa gratitude envers Dieu pour avoir partagé la vie de Blanche pendant 18 ans, tout en soulignant combien son épouse était précieuse pour lui, pour leurs enfants et pour la communauté. Il se tourne vers sa foi pour trouver la force de continuer sans elle, la croyant désormais auprès de Dieu dans Sa gloire, en attendant de la retrouver un jour.
“Je compte sur toi pour me fortifier et me donner la force de continuer sans elle, car tu sais mieux que moi combien elle comptait pour moi, pour les enfants et pour toute la communauté. Je te dis merci de me l’avoir prêtée pendant 18 ans et je crois qu’elle est avec toi, dans ta gloire, et qu’au jour de l’enlèvement je la reverrai”, a souligné Marcello Tunasi.
Chaque objet du quotidien, chaque geste de la vie partagée avec Blanche, semble désormais chargé de souvenirs douloureux pour le pasteur Tunasi. La tasse de café vide, la brosse à dents abandonnée, tout rappelle une vie jadis remplie de bonheur et de complicité, maintenant plongée dans la tristesse et le vide.
Les matins heureux et les moments partagés semblent désormais lointains pour le célèbre pasteur de l’église « La Compassion », dont la douleur et le deuil transparaissent à travers ses mots empreints de tristesse et de nostalgie. Cet épisode douloureux rappelle la fragilité de la vie et la force de l’amour qui unit les âmes, même au-delà de la séparation physique.
Nicolas Kayembe