Depuis sa prise de fonction il y a trois ans à la tête de l’Université de Kisangani, le Professeur ordinaire Jean Faustin Bongilo Boendi se retrouve au cœur d’une vague de critiques et d’attaques de la part de divers individus, connus et inconnus.
Cette campagne de dénigrement s’intensifie avec l’arrivée de la Professeur Marie-Thérèse Safi Sombo en tant que ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), mettant en lumière des tensions politiques et des manœuvres malveillantes.
Les détracteurs du Professeur Bongilo semblent ignorer les principes de continuité des affaires de l’État et tentent de manipuler l’opinion en opposant sa gestion à celle de la nouvelle ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire. Cette tentative de discréditer le recteur en place se base sur des allégations infondées et des attaques personnelles, loin de la vérité et de l’éthique professionnelle.
Il est important de souligner que la nomination de la Professeur Marie-Thérèse Safi Sombo vise à redresser le secteur de l’ESU, et non à discréditer injustement ses prédécesseurs. Les attaques contre le Professeur Bongilo sont motivées par des intérêts politiques mesquins et dénués de fondement, cherchant à semer la discorde et à nuire à sa réputation.
Les accusations portées à l’encontre du Professeur Bongilo le qualifiant de piètre recteur sont infondées et injustes, remettant en question ses réalisations et son dévouement pour l’Université de Kisangani. Malgré les attaques, l’Unikis continue de briller par la qualité de ses cadres universitaires et ses réalisations salutaires pour la région de la Grande Orientale.
Les détracteurs du Professeur Bongilo se contredisent en reconnaissant qu’il est bien entouré, mais en le dépeignant comme incompétent. Cette hypocrisie révèle les véritables motivations de ceux qui cherchent à ternir la réputation du Recteur, dans une lutte de pouvoir dénuée de tout sens moral et professionnel.
Les attaques visant à discréditer les professeurs de l’Université de Kisangani, notamment en insinuant une désertion des cours par certains enseignants prestigieux, sont mensongères et visent à semer la confusion. Il est crucial de dénoncer ces tentatives de manipulation de l’opinion publique et de rétablir la vérité sur la situation à l’Unikis.
En dépit des difficultés rencontrées, le Professeur Bongilo a su mener à bien des projets d’envergure pour l’Université de Kisangani, améliorant les infrastructures et les services offerts à la population. Ses actions bénéfiques pour la région témoignent de son engagement envers le développement de l’institution et de la communauté environnante, malgré les obstacles politiques et les calomnies dont il est la cible.
Il est impératif de mettre fin à cette campagne de dénigrement injuste et de se concentrer sur le véritable objectif : le progrès et l’excellence de l’enseignement supérieur à l’Université de Kisangani. Le Professeur Jean Faustin Bongilo Boendi mérite reconnaissance et soutien pour ses efforts louables en faveur de l’institution et de ses étudiants, loin des manœuvres politiques et des attaques diffamatoires.
Espedi Saile