Les partis politiques disséminés à travers la République Démocratique du Congo et dans le monde constituent l’expression de la démocratie lorsque les règles de l’art sont observées.
Dans chaque Etat, il y en a de petites comme de grandes formations politiques. Pour marquer leur présence, certaines s’associent en regroupement politique et font front contre les nantis, les plus forts, pour espérer glaner quelques voix ici et là, particulièrement lors des élections.
L’UDPS, le parti d’Étienne Tshisekedi d’heureuse mémoire, fait partie des légendes en République démocratique du Congo, en Afrique et même dans le monde. À ce jour, pas un seul parti politique n’a eu autant de carrure pour s’imposer à l’image du plus grand grand parti de la RDC, l’UDPS. Et, il sied de noter que le poste de Vice-Président de la zone Afrique, occupé par le Muana bute, le Secrétaire Général de l’UDPS, l’Honorable Augustin KABUYA, au sein de l’internationale socialiste prouve à suffisance que l’UDPS compte. Car, il est impensable qu’un parti faisant figure de parent pauvre, en terme d’adhérents, puisse prétendre à une place de choix dans une structure si pleine de solennité. Un rêve difficilement réalisable.
Mais, l’élection de l’honorable Augustin KABUYA à toutes les instances où il s’est présenté constitue sans nul doute une réponse, mieux une récompense pour l’œuvre salvatrice qu’il a accomplie depuis son accession à la tête du parti.
En termes d’emplois octroyés aux partisans de Felix-Antoine TSHISEKEDI, Augustin KABUYA demeure le champion qui a donné le travail à plusieurs et à tous les niveaux. Chaque fois qu’il entreprend des négociations avec les membres de l’Union Sacrée de la Nation, tant la version 1, avec Katumbi ou 2, sans l’ancien gouverneur du Katanga, l’issue a été toujours favorable, d’autant qu’il a été modéré et très respectueux de ses vis-à-vis, qu’il a monté en considération.
La CNSSAP, la SONAS, la caisse de péréquation, la SOKIMO, l’ONIP, l’ONAPAC, l’ANAPI, FOGEC, CTCPM, SAEMAPE, l’UNIKIN et plusieurs autres entreprises et établissements publics sont aujourd’hui gérés par les mandataires issus de l’UDPS sous l’ère Augustin KABUYA.
Ailleurs, à la LMC, SOCIR, COBIL et la RVF, l’UDPS y a placé des DGA sous l’instigation de l’honorable Augustin KABUYA.
À la fin de la constitution du gouvernement, autant celui de Madame Suminwa que celui où le Dr Eteni Longondo a travaillé, les membres de l’UDPS occupent des ministères clés. Plusieurs provinces sont aujourd’hui gérées par des gouverneurs membres de l’UDPS. Avec notre mosaïque, l’UDPS dispose de la majorité au sein de l’assemblée nationale et au sénat, de nombreux députés provinciaux, des bourgmestres, des conseillers communaux: tout ceci grâce au filling du chef de l’administration de l’UDPS, et ce, en un laps de temps.
Mais, revenons à notre ami Eteni Longondo. Au sein du gouvernement Suminwa, il y a des ministres qui ont été reconduits. Cela n’est pas gratuit ! L’on peut affirmer sans peur d’être contredit qu’ils ont été à la hauteur, tandis que notre ami Longondo doit avoir lamentablement brillé dans l’incompétence pour ne pas être repris . Et plutôt que d’assumer son échec, c’est sur le Secrétaire Général Augustin KABUYA qu’il répand la responsabilité de sa descente en enfer. Non, les combattants ne sont pas dupes. Aurait-il remarquer les frères, les sœurs ou les membres de l’église où prie Augustin Kabuya occuper des emplois en lieu et place des combattants ? Non. Ta place monsieur est dans le rencard en attente d’être affecté au lieu qui vous convient. C’est ici le lieu d’affirmer que notre ami souffre d’une cécité politique agravée dans laquelle il veut entraîner les combattants qui lui reservent, le simplement du monde, une fin de non recevoir. Car, de quel leadership parle-t-il. Si réellement Dr. Eteni Longondo et consorts sont de l’UDPS, ils doivent arrêter avec leur aventure pendant cette période où notre haute autorité de référence a besoin de l’accompagnement de son parti pour la réussite de son deuxième quinquennat.
Honorable Anaclet Kabeya, Cadre de l’UDPS/Tshisekedi