Le Président de l’Assemblée Nationale le Professeur Vital Kamerhe a conféré le mardi 08 Octobre avec une délégation du Caucus des Députés Nationaux de la Province du Kongo-central conduite par la Vice-présidente, l’Honorable Marie-Josée NYONGO.
Au menu de leurs échanges figurait, l’insécurité devenue quasi permanente dans différentes contrées du Kongo-central. Considérée jadis comme havre de paix, la terre du Prophète Simon Kimbangu est minée ces derniers temps par la recrudescence de la criminalité urbaine et l’insécurité qui s’observe le long de ses frontières avec l’Angola.
« Nous avons parlé en profondeur avec le Président de l’Assemblée Nationale , et nous avons appris qu’une piste de solution a déjà été tracée pour résoudre le problème d’insécurité dans notre Province »a indiqué d’entrée de jeu la Députée Nationale Marie-Josée NYONGO.
Pour la vice Présidente du Caucus des Députés Nationaux du Kongo-central, il faudrait qu’on s’y penche rapidement parce qu’a-t-elle affirmé au moment où tous les efforts sont tournés vers la partie Est de la République Démocratique du Congo, il n’est pas bon d’être surpris de l’autre côté de l’Ouest du Pays, où la sécurité des personnes et de leurs biens est mise en mal.
« Parmi les contrées touchées par la recrudescence de l’insécurité, il y a la notamment Kimvula, Tshela, Lukula, Mbanza-Ngungu et la Ville de Madadi », a dit la vice-présidente du Caucus des Députés Nationaux du Kongo-central
Le Président de l’Assemblée Nationale très attentif aux doléances de ces Elus du Peule a pris à bras le corps ce dossier afin de trouver les solutions idoines quant à ce.
Abordant d’une autre part la question de l’incident malheureux survenu le lundi 07 Octobre dernier dans la Ville de Matadi où la Police Nationale Congolaise(PNC), a réprimé avec violence une manifestation à laquelle prenaient principalement part active des élèves au sujet de la grève des Enseignants, la Députée Nationale Marie Josée NYONGO a sollicité l’implication du Président de la Chambre basse du Parlement pour qu’une solution en faveur des victimes soit trouvée.
Avec Cellcom de l’Assemblée nationale