Dans une déclaration publique parvenue à la presse, l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) a exprimé ses préoccupations concernant une série de menaces pesant sur la sécurité de son président, l’honorable Vital Kamerhe. La Direction Politique Nationale du parti a fait état d’une inquiétude croissante face à des actes qu’elle considère comme des tentatives d’élimination physique du leader de l’UNC, suite à des déclarations et actions récentes dans le paysage politique congolais.
La direction du parti a noté que ces menaces se sont intensifiées à Kinshasa au fil des mois, notamment après des événements politiques tels que les campagnes électorales, les rassemblements populaires, et une récente matinée politique le 9 mars 2025. L’UNC accuse certaines forces politiques, y compris des chefs coutumiers et des figures influentes, d’avoir créé un climat propice à ces menaces. Le but final, selon le parti, serait d’éliminer l’honorable Kamerhe, tant physiquement que politiquement, dans une tentative de le déstabiliser en vue des élections futures.
Le communiqué dénonce également la complicité de certains acteurs politiques, y compris le vice-président de l’Assemblée Nationale, Christophe Mboso, qu’il accuse d’ajouter de l’huile sur le feu en insinuant des tentatives de déstabilisation par les adversaires politiques de Vital Kamerhe. De plus, l’UNC critique l’hypocrisie de certains acteurs politiques qui, tout en dénonçant l’instabilité dans l’Est du pays, continuent de soutenir des actions qui contribuent à l’instabilité politique du pays, en ciblant leur opposant politique.
L’UNC a exprimé sa volonté de poursuivre sa lutte politique et a lancé un appel à la mobilisation générale pour défendre la vie et les droits de Vital Kamerhe. Le parti se dit déterminé à dénoncer toute forme de violence ou de complot visant à nuire à son président et a demandé à la communauté internationale et aux autorités congolaises d’agir pour protéger les droits et la sécurité de ses dirigeants.


CB