Faits reprochés, le journaliste aurait diffusé ou commenté des images dénonçant l’état de saleté avancé dans les installations du stade des Martyrs, un des lieux emblématiques de la RDC.
Conséquence immédiate à la suite de cette dénonciation publique, il a été interpellé par les services de sécurité. Certains rapports mentionnent une mise aux arrêts administrative sans mandat judiciaire clair.
Société civile et syndicats de journalistes.De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer cette arrestation comme une atteinte à la liberté de la presse. Des organisations comme l’UNPC (Union nationale de la presse du Congo) ont demandé sa libération immédiate.
Argument des autorités, l’acte du journaliste aurait été interprété comme une atteinte à l’image des institutions publiques ou comme un acte d’indiscipline professionnelle, vu qu’il est employé par une chaîne d’État.
Liberté d’expression Ce cas met en lumière les tensions persistantes entre journalisme d’État et devoir d’informer objectivement.
Conditions des infrastructures publiques, Il révèle aussi les problèmes de gestion et de maintenance d’infrastructures majeures, comme le stade des Martyrs.
Christian kasongo