Office des Routes:Le DG Herman Mutima au dessus de tout soupçon !

Les détracteurs du Directeur général de l’Office des routes, Herman Mutima Sakrini, viennent de changer les fusils d’épaule. Ce, après avoir fouiné dans sa gestion et rien trouvé ne fut qu’un dossier compromettant sur le détournement des deniers publics, les voilà sur des accusations infondées.
Herman Mutima Sakrini, cet ingénieur de formation et Directeur général de l’Office des routes a été victime de plusieurs colportages de mauvais goût des années durant et est toujours sorti indemne contre tous ces coups bas. Ce, grâce à sa probité morale et managériale. Illustration faite ici de l’affaire cent jours où il a été même incarcéré à la prison centrale de Makala. Au finish, il a recouvré sa liberté en rejoignant son poste de travail au grand dam de ses pourfendeurs et à la grande satisfaction du personnel de cet office qui croit à ce manager qui a apporté une touche particulière dans la gestion des ressources humaines voir financières à l’Office des routes.
Ingénieur de formation et gestionnaire éprouvé, Herman Mutima conduit cet office avec doigté et compétence en observant scrupuleusement les directives et autres orientations du Conseil d’administration et des instructions de la tutelle.
Ses prouesses donnent du fils à retordre à ses détracteurs tapis dans l’ombre. A ces jours, mécontents de le voir réussir dans toutes les actions entreprises, ces irréductibles pourfendeurs recourent à de fausses informations dans le but de lui jeter les peaux de bananes. Erreur de casting. Car, aucune autorité ne mordra à l’hameçon. Des accusations non fondées du genre que le DG est coupable de tribalisme, de megestion et de mises en place fantaisistes au sein de l’Office des routes, ne passeront pas. Ce sont des mensonges cousus de fil blanc.
Les observateurs soutiennent que tous ces montages ne sont pas la seconde nature DG Herman Mutima Sakrini qui, disons le, est un légaliste, et qu’à ce titre, il ne peut en aucune manière aller à l’encontre de l’instruction du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi qui, via son directeur de cabinet, avait interdit en date du 25 janvier 2019 jusqu’à nouvel ordre, tous les recrutements et mises en place dans les entreprises, services et établissements publics. Toutes les liquidations des dépenses publiques autres que celles liées aux charges du personnel, sont également suspendues. Ces mesures avaient été prises à titre conservatoire en vue d’éviter « de saigner les finances publiques des dépenses abusives et complaisantes ainsi que des nominations et/ou des embauches de positionnement dans l’administration publique tout comme dans les entreprises de l’État».
Dans le même registre, il est rappelé par ailleurs que toute action à mener par la Direction générale d’une quelconque entreprise publique, doit au préalable obtenir le quitus du Conseil d’administration et l’aval du ministère de tutelle. Ainsi, pour le cas de quelques promotions dont ses détracteurs font état à l’Office des routes, l’on apprend que c’est depuis 2020 que la demande, pour les besoins d’efficacité de cet établissement public, en avait été faite auprès du ministère des ITPR par la Direction générale, après l’approbation du Conseil d’administration. Comme on peut le constater, il ne s’agit pas de promotions fantaisistes, ou de nouveaux engagements, mais plutôt des cadres compétents qui ont été mis à la place qu’il faut pour un bon rendement.
Il est à noter aussi que le DG Herman Mutima Sakrini est originaire de l’ethnie Sakata de Mai-ndombé, aucun cadre promu ne vient de cette partie de l’ex grand Bandundu. Les accusations de tribalisme formulées contre lui n’a pas sa raison d’être, par la simple raison que les cadres élevés à ces fonctions sont originaires de toutes les provinces du pays. Trêve de discussion donc pour ce débat en dessous de la ceinture. Comme qui dirait, le chien aboie, la caravane passe.
Danny Musangu