La ministre d’État en charge du Portefeuille, Adèle Kahinda, fait l’objet des cabales et accusations gratuites montées nuitamment contre elle par certains détracteurs de la réforme des entreprises publiques
Cette industrie des Fake news est constituée d’un groupe de douze ONG, qui, avec des intentions malsaines, accusant faussement la ministre d’État au Portefeuille, Adèle Kahinda d’avoir participé activement au bradage du patrimoine de la Congolaise de l’exploitation minière (COMMINIERE S.A), une entreprise publique dont les parts sont partagées entre le gouvernement (90%) et la Caisse nationale de sécurité sociale (10%).
Lynchage médiatique délibéré
Vraisemblablement, ces ONG se sont lancées dans une forme de lynchage médiatique avec pour objectif de saper l’image, la dignité, pourquoi pas l’honneur de ce membre du gouvernement Sama Lukonde.
Des observateurs avérés font remarquer que Adèle Kahinda s’est attirée des ennemis à cause de la réforme menée au sein de société minière, qui voulaient voir COMMINIERE S.A être bradée à vil prix pour leurs intérêts mesquins.
«Quand on connaît le fonctionnement des structures du gouvernement de la République, il est imprudent de considérer qu’un ministre, fut-il ministre d’État, a le pouvoir d’engager seule une telle réforme qui touche à la vie de l’État, aux finances publiques et à la vie des citoyens sur des projets miniers importants qui prennent en moyenne 30 ans pour se réaliser », ont expliqué ces observateurs avertis.
Confiance doublée d’estime
Jusque là, Adèle Kayinda bénéficie d’une double confiance, du Premier Ministre Jean Michel Sama Lukonde et du Président de la République, Félix Tshisekedi, dans la réalisation du cahier des charges qui lui a été soumis lors de sa nomination au poste du Ministre d’État au Portefeuille.
Au delà, de cette confiance, la « Princesse Kayinda », a encore le soutien de tout un peuple de Sandoa dans le Lualaba, d’où elle est originaire. Ce peuple avait fait d’elle députée nationale lors des récentes élections de 2018 afin d’aller défendre à l’assemblée nationale ses intérêts, sans oublier l’accompagnement sans relâche de son parti politique, « l’Alliance des Démocrates Chrétiens du Congo (ALDEC) », qui, il y a peu a célébré à la Foire internationale de Kinshasa (FIKIN) ses 5 ans d’existence.
Figure Politique
Jusque là, Adèle Kayinda, a manifesté ses prouesses sur la scène politique congolaise, qui font d’elle depuis, l’une des figures politiques féminines, les plus consultées et de référence en République démocratique du Congo. Quoi de plus normal que son dynamisme, son intelligence et ses compétences lui attirent des ennuis.
Honoré Mwambilayi