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Sondage Echos d’opinion : Pour leur loyauté et fidélité au chef de l’Etat 10 personnalités politiques vendent, par leurs actions en faveur de la population, l’image du chef de l’Etat Félix Tshisekedi pour lui renouveler le mandat en décembre 2023

Soucieux de mettre en œuvre sa vision politique, le président de la République Félix Tshisekedi avait estimé opportun de rompre d’avec le Front commun pour le Congo –FCC-, la plateforme du président sortant Joseph Kabila, et mis sur pied sa nouvelle plateforme, l’Union sacrée de la nation.

La finalité était de donner au gouvernement de la République des marges de manœuvre devant permettre à l’Exécutif national, de bien appliquer sa vision politique coulée sous forme d’un programme d’action.

Sans plus tarder, plusieurs leaders de partis politiques convaincus de la pertinence de la décision prise par le chef de l’Etat,  avaient rejoint la nouvelle plateforme et obtenu des postes de responsabilité dans les institutions nationales.
Ce qui donna au chef de l’Etat la possibilité de se constituer un bloc solide autour de sa personne.

Parmi ces personnalités, une dizaine d’entre elles se distinguent par des actions positives visant la renaissance de la nation, et le bien-être de la population.

S’impliquant totalement dans la vision du chef de l’Etat, ces acteurs politiques traduisent dans leurs sphères d’activités respectives, la volonté de Félix Tshisekedi de voir la RDC sortir de l’ombre pour amorcer son entrée dans le concert de pays émergents.
Partout où ils exercent des fonctions, ces acteurs politiques membres de l’Union sacrée de la nation montrent ainsi la nécessité d’accorder un second mandat à Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de décembre 2023, afin qu’il parachève l’œuvre gigantesque qu’il a entamée depuis son avènement à la tête du pays.

Le sondage effectué du 23 février au 23 mars 2023 par l’Institut « Echos d’opinion », est parvenu à détecter ces dix personnalités politiques qui travaillent effectivement pour que le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, soit reconduit à la tête de la République démocratique du Congo.

Nous vous présentons, ci-dessous, ces acteurs politiques très actifs sur le terrain.

Gentiny Ngobila, gouverneur de la ville de Kinshasa: 87%

Elu gouverneur de la ville de Kinshasa le mercredi 10 avril 2019, Gentiny Ngobila avait fait adopter à l’assemblée provinciale, son programme d’actions dénommé «Kinshasa Bopeto», en vue de redorer l’image de la capitale. Ce programme s’articulait autour de cinq axes prioritaires : l’amélioration de la gouvernance et le rétablissement de la sécurité; la protection de l’environnement et l’assainissement de la ville; la modernisation des infrastructures de base; le développement des activités économiques, la création d’emplois ainsi que l’amélioration de la qualité des services sociaux de base. Pour lui, il fallait s’attaquer à l’insuffisance de la gouvernance au niveau des services urbains, à la modicité des ressources dans la mise en œuvre de la décentralisation financière et au manque d’adhésion de la population kinoise.

Parmi les défis auxquels est confrontée la ville, Gentiny Ngobila affirmait qu’il fallait résoudre la problématique des effectifs pléthoriques, la sous-qualification des agents des services centralisés et autres, l’assainissement de la capitale. Dans cette optique, l’autorité urbaine est descendue le 7 octobre 2022, accompagné de son adjoint, Gérard Mulumba, pour superviser les opérations de démolition des constructions anarchiques. Le gouverneur assure que toutes les personnes dont les habitations sont détruites seront relocalisées à Nsingi-Nsingi, dans la commune de la N’sele. Il s’est ensuite rendu sur le site de l’hôpital de Kintambo où il a également assisté à la démolition des maisons érigées sur la voie publique. Les mêmes opérations se sont poursuivies sous la supervision du vice-gouverneur, notamment le démantèlement des palissades sur les sites du Boulevard Triomphal et de l’hôtel du fleuve Congo, dans la commune de la Gombe.

L’opération s’est poursuivie le samedi 22 octobre sur le site du cimetière de Kinsuka, au quartier Mazal, commune de Mont Ngafula. Ce qui paraissait être une mission difficile, au regard des mauvaises pratiques devenues une deuxième nature des Kinois, est devenue une réalité palpable. Enfin, dans le cadre de son programme d’aménagement de la ville, le gouverneur Gentiny Ngobila s’est signalé par la réhabilitation de l’avenue Elengesa. Les travaux ont permis le désengorgement de la zone englobant les communes de Makala, Bumbu, Selembao jusqu’à Mont Ngafula.

L’on peut ajouter les travaux de réhabilitation du pont Bongolo, dans la commune de Kalamu, sur une longueur de 1.497,84 m, entre les avenues Université et Kasa-Vubu. Ces travaux financés sur fonds propres de l’exécutif urbain, s’inscrivaient dans le cadre de la continuité des actions déjà entreprises en matière de voirie urbaine. Concernant les embouteillages récurrents sur diverses artères de la capitale, Gentiny Ngobila a attribué cette situation en partie au déficit des routes secondaires et à l’étroitesse des routes les plus fréquentées qui ne répondent plus à l’explosion démographique et du charroi automobile de l’heure. Dès lors, il a été décidé de réhabiliter certaines voies et de créer des routes trans-communales.

Christophe Mboso, Président de l’Assemblée nationale 79%

Mr Christophe Mboso

Elu à la tête de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso se frotte les mains d’avoir rétabli la confiance entre le peuple et ses représentants, et surtout rétabli la crédibilité de l’Assemblée nationale. «Ce n’est pas le moment de bilan encore moins le moment de l’autosatisfaction.

Cependant, au regard de la situation agitée et troubles que nous avons trouvée à l’Assemblée nationale, je peux aujourd’hui affirmer que nous avons instauré le climat de confiance entre le peuple et ses représentants», explique Christophe Mboso.

L’autorité morale de la CRD qui soutient à 100% la vision du chef de l’Etat, garant du bon fonctionnement des institutions, estime également avoir rétabli la crédibilité de l’Assemblée nationale en un temps record. Ce résultat découle de l’objectif qu’il s’était fixé, celui de la lutte contre la pauvreté de la population et la promotion d’un Etat de droit où l’égalité de liberté est garantie à tous.  Il avait aussi promis la collégialité, la proximité et la transparence durant son mandat. Maintenir et garantir la prospérité des tous les élus dans l’exercice de leur fonction et promouvoir l’égalité de genre, le respect de la Constitution et le règlement intérieur figurent parmi ses acquis.  

Modeste Bahati Lukwebo, Président du Sénat: 71%

Mr Bahati Lukwebo

Modeste Bahati Lukwebo, président de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo (AFDC), a été deux fois ministre sous le régime de l’ancien président Joseph Kabila dont il était allié. Ils ont ensuite fini par se séparer. Elu président du Sénat, l’on attendait de lui qu’il change la gestion de cette chambre haute du Parlement, et se montrer plus préoccupé des questions sociales. A ce jour, Bahati dit avoir hérité d’une situation très difficile, marquée par de multiples dettes estimées à 14 millions de dollars. Il s’est mis à étudier les voies et moyens de gérer toutes ces questions, malgré la pression des fournisseurs. Il fallait aussi rémunérer des sénateurs qui ont effectué des missions, sans oublier d’autres qui ont payé de leur poche des soins médicaux et n’ont pas été remboursés. Modeste Bahati dit avoir également inauguré une nouvelle ère de transparence et de bonne gouvernance. Pour ce faire, il a fait auditer chaque créance avant de s’adresser au gouvernement, qui est la seule source de revenus.

Modeste Bahati et sa plateforme ont choisi Félic Tshisekedi comme leur seul candidat à l’élection présidentielle de 2023. Une preuve de loyauté et d’engagement politique.

Guy Loando, ministre de l’Aménagement du Territoire: 70%

Mr Guy Loando

Un travail de qualité est observé depuis l’avènement de Me Guy Loando à la tête du ministère de l’Aménagement du territoire. D’entrée de jeu, l’on a noté que le processus de la réforme de l’aménagement du territoire jadis suspendu a été relancé; en plus du travail de vulgarisation de la politique nationale de l’aménagement du territoire. La défense et la recevabilité au niveau du Parlement, du Projet de Loi sur l’aménagement du territoire, l’amélioration des conditions de vie des agents et cadres de ce ministère par la dotation d’importants outils de travail, la réorganisation du cadre organique de l’aménagement du territoire entamée, l’appropriation du programme de REVIT consistant à ramener le développement à la base pour arrêter l’exode rural  ainsi que l’Annuaire des ressources naturelles en conception, sont parmi tant d’autres actions réalisées en si peu de temps par le ministre Guy Loando qui tient à rendre vivables et viables toutes les provinces de la RDC.

Sama Lukonde, Premier Ministre, Chef du Gouvernement: 67%

Premier Ministre Sama Lukonde

Le gouvernement Sama Lukonde avait été investi après avoir présenté le programme de son gouvernement, qui était axé sur cinq piliers avec plus de soixante axes prioritaires. La diversification de l’économie, la sécurisation du pays, la lutte contre la corruption et la pauvreté étaient parmi les priorités. Jean-Michel Sama Lukonde avait promis, à cette occasion, de faire de la RDC un Etat fort, prospère et solidaire. Les Congolais se disent largement satisfaits des actions menées par le chef du gouvernement avec ses ministres, pour la réussite du mandat du chef de l’Etat.

Carole Agito, Questeur du Sénat : 65%

Mme Carole Agitu

Une délégation de corps professoral du Bas-Uélé conduite par  le questeur du Sénat, Mme Carole Agito,  a plaidé dernièrement pour le relèvement des universités du Bas-Uélé, au cours d’une audience que leurs accordée le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire –ESU-, Mohindo Nzangi.

La délégation s’est dit heureuse de faire savoir au ministre de l’ESU, les défis majeurs des universités du Bas-Uélé, et compte sur son dynamisme pour sauver les institutions de cette partie de la RDC.

Elle a également remercié la sénatrice Carole Agito pour son implication et son attachement à sa province, le Bas-Uélé.

Par ailleurs, la sénatrice Carole Agito se rend très souvent à Buta, chef-lieu de sa province d’origine. Après la mise en place de l’union sacrée de la nation, et après les élections du bureau du Sénat, Carole Agito travaille aux côtés du chef de l’Etat Félix Tshisekedi pour asseoir cette vision et matérialiser le programme du «peuple d’abord» avant d’aborder avec assurance, les élections de 2023 avec une victoire au certaine.

Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’UDPS : 64%

SG Augustin Kabuya

Le secrétaire national en charge des Relations avec les forces politiques et sociales, Martin Konga, a affirmé que l’Union pour la démocratie et le progrès social UDPS/Tshisekedi se mobilise pour offrir au président de la République un deuxième mandat lors de la prochaine présidentielle. Nous lançons un pressant message à tous nos militants de se mobiliser pour que lors des prochaines élections, nous puissions offrir un deuxième mandat au président de la République, et surtout une majorité confortable afin de lui permettre de réaliser son ambitieux projet de société pour le bien-être des Congolais.

Pour y parvenir, nous appelons tous les militants à continuer à s’enrôler massivement et à faire enrôler cinq personnes par parcelle, a-t-il déclaré. 

Il a saisi l’opportunité pour faire la restitution des assises de Kisantu, en expliquant aux militants quelques résolutions importantes parmi lesquelles la désignation du chef de l’État comme candidat du parti à la présidentielle de 2023.

Ceci pour couper court aux manœuvres politiciennes observées de la part de certains alliés qui voudraient prendre Félix Tshisekedi en otage. Il a insisté sur l’engagement de chacun afin de réaliser l’objectif qui est celui de donner un deuxième mandat au président de la République et une majorité écrasante au Parlement.

Fifi Masuka, Gouverneure de la province de 60%

Mme Fifi Masuka

Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, Madame Epoli précise que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité.
« Notre candidat chez nous c’est Félix Tshisekedi. Nous le soutenons, nous voulons avoir la majorité dans les assemblées provinciales, à l’assemblée nationale, même au Sénat. », a dit Marie-Louise Epoli. Issue du démembrement du grand Katanga, la riche province de Lualaba demeure favorable au président Félix Tshisekedi.

Adèle Kayinda, ministre du Portefeuille: 57%

Mme Adèle Kayinda

La ministre d’État en charge du Portefeuille, Adèle Kahinda Mayina, avait lancé, à Kinshasa, les travaux de la mission d’experts sur la numérisation et la digitalisation des entreprises du Portefeuille de l’État.

Dans son discours, elle avait relevé que cette mission rentre dans le cadre de la vision du chef de l’État qui tient à la digitalisation des entreprises publiques, en vue de garantir la traçabilité et la transparence dans leur gestion. 
« Au cours de la 45ème réunion du Conseil des ministres du vendredi 18 mars 2022, son excellence monsieur le président de la République, chef de l’État, a insisté sur le fait que toutes nos entreprises publiques devraient tirer de nombreux avantages de la digitalisation en vue d’assurer la traçabilité de leurs opérations et instaurer une gestion transparente. L’objectif est d’améliorer leur gouvernance et performance, assurer leur relance ainsi que celle de l’ensemble de l’économie nationale », a-t-elle déclaré. À l’en croire, la mission d’experts devra déboucher sur la mise à la disposition des entreprises publiques concernées, des solutions technologiques permettant d’assurer leur numérisation. « Cette activité portée par le ministère du Portefeuille, accompagné de celui du Numérique, va aboutir à la mise à la disposition des entreprises concernées, des solutions technologiques offrant des outils permettant d’assurer la numérisation et la digitalisation des activités ainsi que le paiement en ligne des factures et redevances conduisant à leur traçabilité », a expliqué la ministre d’État au Portefeuille.
Et de renchérir: « Il s’agit d’une réforme majeure dont les retombées sont évidentes pour chacune des entreprises, pour l’État, et d’une manière générale pour nos populations qui vont en tirer bénéfice quand les ressources supplémentaires collectées grâce à la sécurisation des recettes vont permettre de créer de nouveaux emplois et de soutenir plus d’actions sociales en direction des plus démunis ». La mission d’experts afférente à la digitalisation des entreprises du Portefeuille de l’État est appuyée par le Centre régional de la formation professionnelle et de digitalisation des entreprises basé à Cotonou, au Bénin, depuis 1989, sous l’égide des Nations-Unies et des partenaires multiformes.

Aimé Boji, ministre d’Etat en charge du Budget : 55%

Mr Aimé Boji

Aimé Boji a gagné la confiance des RD-Congolais en organisant les travaux de revisitation du cadre et des structures organiques de l’administration du Budget. Il attend voir son portefeuille jouer le rôle que le gouvernement attend de lui. L’objectif de ces travaux est de consolider l’élan de développement de l’administration du Budget, afin de lui permettre de mieux assurer la mission qui lui revient en tant qu’instrument de conception, d’élaboration, d’exécution et de suivi-évaluation de la politique gouvernementale, dans une gestion financière basée sur les résultats.
La revisitation du cadre et des structures organiques de l’administration du Budget se conforme à la loi du 13 juillet 2011, relative aux finances publiques -l’OFIP- qui prône (1) l’organisation, en un seul texte, des lois de finances, des budgets des provinces et des entités territoriales décentralisées, (2) la budgétisation fondée sur une logique des résultats au moyen de budgets programmes, (3) l’approche budgétaire pluriannuelle, (4) la prise en compte des principes de la libre administration des provinces et de la décentralisation, (5) la redéfinition des budgets annexes et l’instauration des comptes spéciaux et (6) et, enfin, l’unité de caisse et l’unité de trésorerie.
Optimiste, Boji Sangara assure que cette revisitation permettra à son département de mieux assurer sa mission, en procédant à la migration du budget des moyens vers le budget-programme.

Ayant pour rôle d’assurer la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière budgétaire, le ministère du Budget espère, pour y arriver, de se munir d’une administration efficace qui cadre avec sa mission. Sa prouesse, le dépôt du projet de Loi des finances, exercice 2022. En plus de l’accroissement du Budget, estimé à plus de 10 milliards de dollars, le ministre d’État Aimé Boji a permis au gouvernement Sama d’entrer dans l’histoire comme étant le premier à s’acquitter de ce devoir à échéance voulue.

Sondage Echos d’opinion

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