Dans une vidéo captivante partagée massivement sur les réseaux sociaux congolais, Rihanna, l’artiste et femme d’affaires renommée à l’échelle mondiale, a ébloui en s’exprimant en Lingala, une des langues nationales de la RDC.
Grâce au talent du photographe congolais basé à Londres, Shotz4eva, la superstar a prononcé avec élégance la phrase “Kombo nanga Rihanna”, qui se traduit littéralement en français : “mon nom est Rihanna”. Cette simple déclaration a déclenché une vague d’émerveillement et de fierté parmi les fans congolais et les passionnés de la culture africaine, soulignant l’impact profond de la diversité linguistique sur les échanges culturels mondiaux.
Peu connu du grand public jusqu’à présent, Shotz4eva, le photographe congolais à l’origine de cette rencontre culturelle inédite, a reçu une pluie de remerciements de la part des internautes. Sa capacité à tisser des liens entre Rihanna et la richesse linguistique de l’Afrique a été saluée comme un acte remarquable de valorisation et de célébration des cultures sous-représentées.
Cette initiative a ouvert la voie à une exploration plus profonde des connexions culturelles entre les artistes internationaux et les diverses communautés à travers le monde, mettant en lumière l’importance de la diversité et de l’inclusion dans l’industrie du divertissement mondial.
La vidéo a non seulement captivé les spectateurs par sa simplicité et son authenticité, mais elle a également suscité des discussions animées sur la langue comme vecteur essentiel de l’identité culturelle. En s’exprimant en Lingala, Rihanna a symbolisé un acte de reconnaissance et de respect envers la culture congolaise, démontrant ainsi l’impact puissant qu’un geste en apparence anodin peut avoir sur la valorisation et la préservation des langues minoritaires.
Cette rencontre entre la renommée mondiale de Rihanna et la diversité linguistique de l’Afrique a résonné bien au-delà des frontières nationales, soulignant l’importance de célébrer et de promouvoir la richesse culturelle du continent africain dans le paysage médiatique mondial.
Nicolas Kayembe