Les fans de Fally Ipupa doivent faire preuve de patience, car la superstar de la chanson congolaise a annoncé le report de sa très attendue tournée américaine. Prévue du 3 au 10 novembre, cette série de concerts emblématique ne pourra pas avoir lieu cette année, repoussée à janvier 2025.
Dans un message empreint de gratitude et d’humilité, Aigle a exprimé sa déception face à ce contretemps, soulignant les difficultés rencontrées pour obtenir les permis de travail nécessaires pour son équipe. “N’ayant pas pu obtenir, dans les délais, les permis de travail des États Unis d’Amerique pour l’ensemble de mes équipes, je suis contraint de reporter notre North American Tour. En effet, bien qu’ayant déjà reçu les visas pour le Canada, cette tournée ne pouvait être envisagée sans le passage aux États-Unis. Je vous remercie pour votre mobilisation de Dallas à Atlanta, de New-York à Silver Spring ou encore à Montréal”, explique-t-il.
Bien que les visas pour le Canada aient été accordés, il a précisé que la tournée ne pouvait se faire sans la présence de tous les membres de son équipe, afin d’assurer un spectacle à la hauteur des attentes de son public. “Pour honorer ces guichets fermés et pour vous présenter un show à la hauteur de vos attentes, la présence de mon équipe au complet était indispensable. Je suis pleinement conscient des frais engagés par chacun d’entre vous et cela me touche profondément”, ajoute-t-il.
Ce report, bien qu’il puisse sembler décevant, témoigne de l’engagement de l’artiste envers ses fans. El Mara a su rassurer ses admirateurs, rappelant l’importance de leur soutien et des efforts financiers qu’ils ont déjà engagés pour assister à ses concerts. Il a promis de communiquer de nouvelles dates pour cet événement tant attendu, transformant cette attente en une occasion d’anticipation.
Alors que les mélomanes s’impatientent pour retrouver l’énergie et l’émotion de ses performances live, cette situation offre une opportunité unique de préparer un spectacle encore plus mémorable, renforçant ainsi le lien entre Dicap la merveille et son public.
Nicolas Kayembe