Le développement national se caractérise par l’observance, entre autre, des moyens de communication dans différents contextes. Qu’il s’agisse des déplacements vers diverses contrées et/ou cités éloignées pour des raisons professionnelles, estudiantines sans oublier d’affaires, et partant, économiques.
Cela sous-entend le fonctionnement des engins de transport dans différentes voies, notamment, terrestre, maritime et aérien et la normalité dudit fonctionnement, au sujet, spécialement des sociétés aériennes, se manifeste dans le témoignage du confort lors de ses vols de la même manière, dans le respect à la loupe des horaires de ces derniers.
La faillite
Sans verser dans le dénigrement d’une quelconque personne morale évoluant dans le secteur aérien, des témoins oculaires attestent, qu’au regard du disfonctionnement actuel de la firme Congo Airways, le moins que l’on puisse dire est, en tout cas, que la faillite est à ses portes.
Un fait capital vient, en effet, corroborer cette hypothèse. »
Des témoignages répétés voire, ‘’ mutatis mutandis’’, des échos en provenance de l’arrière-pays de la République Démocratique du Congo( RDC) font état de la souffrance de voyageurs pour divers motifs ayant jeté leur dévolu sur les avions de la société Congo Airways ,tant, sa création, ceux qui apprêtaient ses aéronefs confirmaient son confort comme sa ponctualité , mieux ,de façon on ne peut clair , son assiduité.
Là où le bat blesse, c’est ce jeudi 19 janvier 2023, cette firme semble signer le sort de la défunte Air Zaire, en raison, sans nul doute de la mauvaise gestion. Car , rappelle-t-on , en économie politique , gérer ,c’est prévoir. Aussi, si et seulement si cette unité aérienne était bien gérée, elle allait prévoir le renouvellement de ses aéronefs ou ses pièces de rechange. Ce qui, apparemment, n’est plus le cas. Son incapacité à maintenir ses appareils volants en bon état ou carrément, à les remplacer par ceux ‘pimpants neufs l’a mis en difficulté d’honorer la clientèle. La preuve en est devenu, ces temps derniers, de dire la vérité à la clientèle, optant pour le mensonge pour les distraire.
Non respect de l’horaire
Il n’est là question d’une allégation d’autant plus que des exemples abondent quant au non respect du calendrier ou d’horaire des vols faute d’avions en bon état disponible au moment où on en a besoin.
Le cas dernier, le plus éloquent, concerne certains voyageurs ou touristes qui ont payé leurs billets depuis plus d’une semaine pour faire la navette entre l’aéroport de ‘’ Bangboka’’ situé à 17 kilomètres du centre-ville proprement dit. Et ç’est la nuit s’il vous plait, vers 23h, heures locale que l’avion a atterri pour prendre les passagers à destination de Kinshasa. Une première.Et dire que ces pauvres passagers ont passé quasiment toute la journée entrain d’attendre l’avion.
Delà, à comprendre qu’ils exposent également leurs clients à l’ insécurité, seul un abruti peut contredire une telle affirmation parceque l’on sait les réalités d’insécurité dans le bois de la partie Est du pays.
De ce qui précède, nombreux sont des congolais inquiets de ce mauvais comportement de l’heure chez Congo Airways et lui conseillent d’arrêter l’escroquerie avec ses reports de vols alors que les passagers tiennent tant à la ponctualité dans la programmation de leurs voyages. Une situation à la base du freinage d’affaires rentables qui exigent la vélocité dans les opérations. C’est aux petites heures du matin (2h du matin) que l’aéronef de Congo Airways a atterri à N’djili avec des passagers épuisés. Nous y reviendrons
Monga Narcisse