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Sondage Echos d’opinion: Top 13 des femmes influentes de la RDC

Jeanine Blandine Kawanda, Antho Kipulu, Fifi Masuka Saini, Malangu Kabedi Mbuyi, Claudine Ndusi, Carole Agito, Solange Masumbuko, Collette Tshomba, Eve Bazaiba, Henriette Wamu, Christelle Vuanga, Adèle Kayinda, Nathalie Bulasungu

La Journée internationale des droits de la femme a été célébrée le 8 mars 2023. En fait, c’est tout le mois de mars qui est consacré à la femme. Comme d’habitude, ce mois permet de mettre en avant la lutte pour les droits des femmes, et notamment pour la réduction des inégalités par rapport aux hommes. Dans les écoles et dans bien d’autres lieux publics, différentes manifestations ont été organisées sur l’ensemble du territoire national pour marquer cette journée et tout le mois de mars.  

Cette année, la Journée internationale de la femme 2023 a eu pour «Pour un monde digital inclusif: innovation et technologie pour l’égalité des sexes». Les Nations unies ont reconnu et célébré la contribution des femmes et des filles qui promeuvent les avancées des technologies transformatrices et de l’éducation numérique. Il a fallu explorer l’impact de l’écart entre les sexes dans le domaine numérique sur l’élargissement des inégalités économiques et sociales.

Avant la clôture du mois de mars, notre Institut de sondage, Echos d’opinion, a déployé ses agents sur l’ensemble du territoire national pour chercher à connaître les femmes congolaises les plus influentes,, celles qui se sont distinguées dans leurs secteurs d’activité. Cette enquête a été menée du 12 au 25 mars 2023. L’échantillon était de 2000 personnes représentatives de la population congolaise résidant dans les chefs-lieux des provinces. Et les personnes interrogées étaient âgées de 18 ans et plus.
En voici les résultats:

Jeanne Blandine Kawanda: Directeur général de la DGDA

Nommée le vendredi 3 décembre 2021 par ordonnance présidentielle, Mme Jeanne Blandine Kawanda à la tête de la douane congolaise, elle a commencé par se pencher sur le social du personnel, en améliorant les conditions de vie et de travail. Car, se dit-elle, l’on ne peut engager une lutte farouche contre la fraude avec des agents et cadres qui ne vivent pas dans de bonnes conditions. Par ailleurs, en vue de réaliser voire aller au-delà des assignations fixées par le gouvernement, le DG Blandine Kawanda a remobilisé les directeurs centraux et provinciaux dans le but de bien remplir le contrat de performance signé avec le ministère des Finances. Pour elle, «il était temps d’échanger froidement et sincèrement entre enfants-maison de la grande famille douanière pour relever les frustrations et les raisons qui plombent les recettes dans chacune des provinces douanières, ainsi que les propositions des mesures d’encadrement en vue d’améliorer l’image de marque de l’administration douanière».

Elle s’est dite persuadée que la DGDA a déjà mis en œuvre plusieurs réformes innovantes susceptibles de soutenir la mobilisation accrue des recettes du Trésor. Pour elle, il est question de les appliquer correctement et le résultat s’en suivra. Aujourd’hui, les résultats sont là : en 2022, la DGDA a atteint le sommet des assignations réalisées, avec 329 milliards de CDF à fin juillet 2022, soit 82% des assignations mensuelles. Ce qui a poussé les agents et cadres, ainsi que les observateurs avertis à la considérer la femme manager de la RDC.

Antoinette Kipulu: Ministre de la FPM

Antoinette Kipulu Kabenga, compte à son actif plusieurs réalisations qui ont impacté ce secteur faisant partie des piliers majeurs du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. Elle a réussi des réalisations avec des actions venues appuyer la vision du président de la République, notamment dans sa recherche des solutions au déficit en  main d’œuvre qualifiée  dans plusieurs secteurs du pays, et sa décision de mettre l’homme au centre de l’action du gouvernement. La ministre compte, entre autres, parmi ces actions réalisées, le lancement des épreuves préliminaires de l’examen national de fin d’études professionnelles (ENFEP) et  l’organisation de l’épreuve nationale de fin d’études professionnelles dans toutes les provinces du pays.

La construction des Centres d’excellence  et de pratique professionnelle au Grand Kasaï, au Kwilu et à Kinshasa, ainsi que la réhabilitation  de quelques centres formation professionnelle dont le centre pilote de Dumi. En outre, la FPM s’est engagée à matérialiser certains projets sur le renforcement des capacités des formateurs, du personnel administratif du ministère et la dotation en équipements des centres en matériels didactiques, avant de procéder à l’évaluation de l’examen national de l’ENFEP sur toute l’étendue du pays. La ministre Antoinette Kipulu,  a fait de la FPM,  son cheval de bataille, en vue de réaliser la vision du chef de l’Etat, celle de la création d’une moyenne au pays, en dépit de  certaines difficultés,

Des initiatives ont été mises en route pour rechercher  l’appui des partenaires pour améliorer le secteur. Il s’agit d’ajouter des infrastructures et équipements adaptés aux différentes formations envisagées, de se doter des programmes de formation agréés et des descripteurs des compétences ainsi que des centres formation  sur l’ensemble du territoire national.

Fifi Masuka Saïni: Gouverneure de la province de Lualaba

La Gouverneur du Lualaba compte parmi les femmes influentes de notre pays grâce au nouvel élan qu’elle a su imprimer à l’Exécutif provincial de Lualaba. Cette province est devenue le modèle de l’encadrement des recettes provinciales dans tous les secteurs: mines artisanales, transport, petits commerces et autres avec la collaboration d’un partenaire privé Kif-Trading. La province travaille sans relâche pour une bonne canalisation des recettes avec le soutien du projet USAID, pour la bonne gouvernance dans les projets sanitaire, lutte contre le travail des enfants dans les mines ainsi que la transparence dans la gestion des ressources naturelles. Le développement de cette entité décentralisée sous la gestion de l’actuelle gouverneure atteint un niveau non encore égalé en RDC. La construction des infrastructures routières, chaussés, voiries, scolaires, hospitalières et administratives se passe de tout commentaire. Kolwezi, chef-lieu de la province est revêtu de sa plus belle robe et attire beaucoup de visiteurs. La ville a abrité plusieurs événements d’une grande importance comme la conférence internationale de l’université de Lubumbashi; la conférence des chefs d’établissements universitaires, le rendez-vous scientifique sur “les ressources naturelles et l’environnement” dans la province du Lualaba; la conférence minière d’Indaba, et celle sur la relance du tourisme en RDC.

Malangu Kabedi Mbuyi : Gouverneure de la BCC

Première femme gouverneure de la Banque Centrale du Congo, elle a présidé pour une année l’association des banques centrales africaines, soit d’aout 2021 à aout 2022. Sa désignation est intervenue lors de la 43ème réunion des gouverneurs des banques centrales africaines. Malangu Kabedi Mbuyi dit inscrire son action dans celle des pères fondateurs de l’Union africaine qui consiste à faire avancer l’agenda de l’intégration africaine. Il s’agit de bâtir une Afrique forte et compétitive à l’échelle internationale.

Claudine Ndusi, Ministre de l’ETPS

Au cours de son mandat, la ministre a maintenu le dialogue social permanent, et intensifié le contrôle des conditions de travail dans les entreprises et usines. Elle a engagé une action pour mettre un terme au désordre qui règne dans le secteur des services privés de placement. Le Premier ministre s’est montré très attentif aux propositions du secteur de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance sociale afin que les réformes soient réalisées en priorité. Parmi celles-ci, l’on peut mentionner l’actualisation de la politique nationale de l’Emploi, ciblant les groupes vulnérables et défavorisés; -la mise à jour du répertoire des métiers et emplois par secteur; -la réforme de l’Inspection générale du Travail; -la mise en place d’une politique nationale de la migration, conformément aux résolutions du dialogue national tripartite sur la migration tenu à Kinshasa en juillet 2022. 

Il s’agit aussi du protocole de l’emploi et du travail de la SADC, du rapport de la mise en œuvre du plan d’action de l’amélioration de la SADC; l’évaluation des directives issues des dialogues et tant d’autres.

Carole Agito Amela : Questeure du Sénat

Carole Agito Amela est une femme politique élue sénatrice et questeur à la chambre haute du parlement congolais depuis le 2 mars 2021. Graduée en sciences infirmières et licenciée en environnement (biodiversité), la sénatrice Carole Agito jouit d’un parcours impressionnant, du reste éprouvé lors de son passage comme directrice générale de la Sonas qu’elle a dirigée pendant 11 ans, soit de 2008 à 2019. Cette femme dynamique a réussi à imprimer un management tourné vers l’excellence pour maintenir en vie cette société. Des taches qui correspondent parfaitement à Carole Agito, épouse, mère et grand-mère qui, dans sa vie privée, est connue pour la grandeur de son cœur. 
Fervente chrétienne, elle est engagée dans le renouveau charismatique de l’Eglise catholique. Intercesseuse, elle est également vice-présidente des mamans catholiques de sa paroisse. Elle travaille beaucoup pour la défense de la province du Bas-Uélé, souvent oubliée dans le Congo profond avec une population désœuvrée qui n’attend qu’une délivrance de la part de ceux qui sont censés défendre ses intérêts; et la fille du général Amela Lokima Bahati est parmi ceux qui se battent à Kinshasa pour soulager tant soit peu la misère de ses frères et sœurs du Bas-Uélé.

Adèle Kayinda Mahina

Diaconesse à la Paroisse internationale de Kinshasa, Adèle Kayinda Mahina, avait aussi organisé en la Cathédrale du centenaire protestante, une journée de jeûne et prière pour soutenir les FARDC au front dans la partie Est du pays. 

Ève Bazaiba, Ministre de l’environnement et développement durable

Eve Bazaiba Masudi, née le 12 août 1965 à Kisangani dans l’ancienne Province Orientale, est une femme politique qui occupe le poste de ministre de l’Environnement et Développement Durable, et de Secrétaire générale du Mouvement de Libération du Congo. Députée nationale élue en 2011 et réélue 2018 du territoire de Basoko, dans la nouvelle province de la Tshopo, elle est membre de l’Union internationale des avocats (UIA); du Conseil d’administration du Réseau parlementaire pour la lutte contre les armes légères et les petits calibres de juin 2018 à ce jour; consultante internationale en droits humains, en négociation et résolution pacifique des conflits; présidente de la Ligue des femmes congolaises pour les élections –LIFCE- de 2006 à ce jour; Directrice exécutive du Bureau d’études sur l’implication des femmes dans la réalisation des objectifs de développement durable (BEIF-ODD 2030) de 2017 à ce jour; pionnière et membre du Réseau africain des femmes Leaders (AWLN) et choisie pour installer le chapitre de AWLN en Tunisie. Membre de l’Union interparlementaire (UIP); de l’Union parlementaire africaine (UPA); et de Parliamentarian Global Action (PGA). Sur le plan politique, Eve Bazaiba s’est distinguée par quelques actions significatives, notamment proposition de loi sur la protection et la promotion des droits des
personnes handicapées en RDC ; direction des travaux pour examen et adoption de plusieurs projets et propositions de
loi au Sénat et à l’Assemblée nationale en tant que présidente de la Commission, entre autres la loi portant protection des personnes vivant avec le VIH / sida; la loi sur la protection des droits de l’enfant;
La loi sur l’organisation et fonctionnement de la Commission nationale des droits de l’homme; la loi sur l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de l’audiovisuel; la loi sur le statut des agents de police; la loi sur le statut de l’armée; la loi sur l’organisation du sport et de l’activité physique; la loi sur l’organisation et le fonctionnement du Conseil économique et social;
La loi-cadre sur l’éducation nationale; etc.
Co-initiateur du plaidoyer pour la participation de femmes expertes dans les négociations politiques inter-congolaises en Afrique du Sud en 2002; co-initiateur du «caucus» des femmes congolaises au dialogue inter-congolais, rassemblant des responsables politiques, la société civile et ceux de l’opposition armée en
se procurant de l’accord de paix en 2002; contribution à l’élaboration du Protocole à la Charte africaine sur les droits des peuples
relatifs aux droits des femmes à la consultation régionale à Brazzaville en 2001 et humaines; et participation à l’intégration des dispositions constitutionnelles spécifiques favorables aux
droits des femmes en RDC en 2006.
Elle a été citée parmi les 5 femmes les plus influentes d’Afrique, en mars en 2019, classée 36ème sur Top 200 Femmes africaines les plus influentes sur tweeter par Smart Data Power en 2020, Prix d’Excellence de la meilleure Femme politique de l’Année du Trophée Muana Mboka, 2015; Prix d’Excellence de Meilleure Politicienne de l’année 2014 par l’Observatoire congolais de mérite en collaboration avec Kin Award, 2014; désignée «Citoyen d’honneur» de l’État de Nebraska et de la ville de Lincoln aux USA, en septembre 2009; proposée parmi les 1000 femmes prix Nobel de la Paix en 2005, projet de l’Unesco, UNIFEM et le gouvernement suisse;
Nominée «Ambassadrice pour la paix» par la Fédération Internationale pour un Monde de Paix et le Conseil International Interreligieux pour la Paix; nominée du Prix pour la «démocratie et l’engagement politique» en RDC.

Henriette Wamu: Députée nationale 

Surnommée la mère Theresa de la Funa par la population de ce district de la ville de Kinshasa, cette Députée nationale est toujours en première ligne de la lutte pour l’amélioration du social de la population. A son actif on note la réhabilitation du Lycée Matonge avec l’aide de son partenaire, l’Eglise de Jésus Christ des Saints des derniers jours; toujours avec l’appui du même partenaire, elle a offert un forage d’eau à la population de la commune de Makala érigé au Centre de Santé de Kimbazi, situé dans le quartier Mabulu 1. Grâce à elle, les orphelins et orphelines des Orphelinats Notre-Dame perpétuelle de la cité verte et Cris des orphelins du Congo de Bandal-bisengo sont pris en charge.

Christelle Vuanga: Députée Nationale 

Elue dans la circonscription de la Lukunga, ville de Kinshasa, Christel Vuanga est issue de l’Alliance des Mouvements du Kongo-AMK. Elle a marqué les esprits des Congolais pour être l’unique femme qui dirige une Commission parlementaire sur les 10 que compte l’Assemblée Nationale. Elle a été élue à la tête de la commission Genre, Enfant et Famille suite à la requalification de la majorité parlementaire à la Chambre basse du Parlement. Auparavant, Christelle Vuanga avait présidé la Commission Droits de l’Homme. En cette qualité, elle a pris une part importante à l’atelier sur l’élaboration de l’examen périodique universel organisé par l’Union interparlementaire et le Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Sa capacité exceptionnelle à se faire élire à deux reprises présidente d’une Commission parlementaire au cours d’une même législature sous deux majorités différentes, a frappé et marqué les esprits des Congolais. 

Solange Masumbuko Nyenyezi : Députée Nationale

La représentante de la plateforme Action pour l’autonomisation et le développement des communautés africaines –ADEAC- a, au cours d’une conférence débat organisée au Centre d’étude pour action sociale –CEPAS-, dans la commune de la Gombe,  partagé son expérience avec les femmes candidates aux élections de 2023 prochain. Axée sur le thème principal: « Femme : voulez-vous gagner aux élections?», Mme Masumbuko également députée nationale a indiqué que cette rencontre est une opportunité pour les candidates échouant aux différents scrutins électoraux qui souhaitent encore postulées à la prochaine échéance électorale.

Elle a, à cet effet, fait remarquer que c’est une occasion de partager et d’échanger sur les différentes stratégies afin de mettre sur pied les  méthodes pour un résultat escompté, avant d’ajouter que celles-ci  doivent maitriser ces trois faits, à savoir: la formation, l’information et les actions. « Pour bien gagner aux élections, elles doivent être informées du mode de scrutin, de l’avancement du processus électoral, comprendre et être avisée de travail déjà accompli, le niveau des préparatifs et les difficultés rencontrées par le Central National Electoral Indépendante (CENI). Suivre le coaching sur comment gagner les élections et en se servant du modèle des autres qui ont gagné », a-t-elle souligné.
Elle a, par ailleurs, rappelé aux candidates de choisir un parti politique qui prône et soutien les candidatures féminines, avant de saluer les innovations opérées par la CENI de gratifier ce parti  qui alignera plus la candidature des femmes.

Collette Tshomba: Députée Nationale

Colette Tshomba, députée nationale et Rapporteure adjointe du Bureau de l’Assemblée nationale a sensibilisé les femmes du district de la Funa sur l’entrepreneuriat. L’élue de la Funa a encouragé les femmes de sa circonscription électorale d’entreprendre une activité génératrice de revenus pour s’affranchir de la dépendance. Pour promouvoir la parité, Colette Tshomba a offert aux femmes et aux hommes de sa Dynamique, une pièce de pagne de 6 yards  et une enveloppe pour entreprendre une activité génératrice des recettes en vue d’une autonomisation. « Cette enveloppe que nous vous offrons doit servir de fonds de commerce. Soyez créative, entrepreneure et  courageuse. Trouvez, avec ce que nous vous donnons ici à tour de rôle, ce que vous pouvez faire chez vous pour le fructifier et vous autonomisez », a-t-elle renchéri.

Adèle Kayinda, Ministre du Portefeuille

Par devoir de redevabilité, la ministre du Portefeuillea indiqué, lors de la présentation de son bilan, qu’à son dans ce secteur, sa première action était la recherche de la cohésion au sein du ministère du Portefeuille et de l’efficacité. C’est dans le même contexte qu’elle a initié des échanges avec les mandataires des entreprises publiques afin de leur présenter sa vision et les principes qui devraient les guider pour la réussite de sa lourde mission. La troisième action est la rencontre avec les mandataires des sociétés d’économie mixte à qui elle a donné des instructions strictes afin qu’elles puissent défendre les intérêts de l’actionnaire l’Etat. Elle s’est aussi attelée à désigner de manière urgente les nouveaux censeurs faisant partie de membres du cabinet du ministre du Portefeuille dans les conseils d’administration des entreprises publiques pour lui permettre de suivre leur marche et les Assemblées générales.
La revue du portefeuille de l’État à travers les états des lieux des entreprises publiques, initiée par le président de la République et réalisée par le COPIREP, a conduit à un constat inquiétant (5ème point). A cette revue, il y a la relance de la réforme des entreprises publiques qui, faute de la volonté politique et des moyens, s’était pratiquement arrêtée au premier volet à savoir: la transformation en sociétés commerciales mais qui continuent à être gérées comme les entreprises publiques.
La 7ème action, est la reprise et la redynamisation du projet de la société de fibre optique et qui consiste au déploiement du réseau de fibre optique pour la partie Ouest du pays (Kinshasa-Luanda). Ce, pour ouvrir le pays vers la digitalisation ou l’intelligence institutionnelle. La 9ème action a été la mise en place d’une commission de titrisation du patrimoine immobilier des entreprises du portefeuille avec le concours du ministre des Affaires foncières pour les identifier, les sauvegarder contre les spoliateurs.
Adèle Kayinda  a aussi insisté sur la mise en place dans leurs structures respectives la Cellule de gestion des projets et des marchés publics ainsi que le respect des procédures y relatives pour éviter les recours au gré à gré.

Nathalie Bul’An’Sung Sanata : Rapporteur du Bureau du Sénat

Elle est l’une des personnalités politiques qui ont marqué les esprits des Congolais par l’assistance humanitaire aux orphelins, vieillards, et autres déshérités, ainsi que par l’appui substantiel qu’elle a accordé aux femmes entrepreneurs. A certaines d’entre elles, elle a donné les moyens pour démarrer une activité économique; et aux autres la possibilité de consolider leurs affaires comme les femmes maraichères. Mme Nathalie se soucie de l’accès à l’éducation de toutes les couches sociales de la jeunesse, à commencer par les personnes vivant avec handicap.

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