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Les leaders Tshopo forts éclairés et émergents, poussent notre pays vers des horizons de sa destinée (Tribune de Trésor BOTAMBA)

Dans une tribune sortie par la majorité des jeunes de l’ex Province orientale, toutes tendances confondues dans les causes de la redynamisation de leurs efforts pour le soutien salvataire qui doit aboutir sans coup ferir à la nouvelle République, la 4 ème donc de l’histoire de notre pays, le ciel ne tombera pas.

Les comités provinciaux des jeunes du Bas-Uele, Haut-Uele, Ituri et Tshopo tous réunis comme un seu homme dans un affront commun sortent du silence et de ce qu’il ont considéré de la « torpeur. » A TORD D’AILLEURS.

En effet, il ressort d’un constat net, précis et clair sans nul doute, celui utilisé par mon aîné talentueux confrère journaliste Jean Stanis Bilanga Monha Mwali

Les leaders Tshopo fort, éclairé, émergent et qui qui pour pousse notre pays vers des horizons de sa destinées s’annoncent et les signaux sont très clairs.

C’est ainsi, sans être assez gourmands, entourés des autres eminences grise de nore région, des personnalités tout aussi de grand gabarit, nous nous sentons forts et appuyer pour accompagner l’idée salvavatrice de la 4 éme République tel qu’anoncée par le chef, de l’État à grand poste de Kisangani lors de l’in de ses meeting historiques.
Le Garant de bons conditionnements de nos institutions, nous avons cité! Le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Accompagné des autres grands Leaders de la grande orientale don le leurs nombres sont incaluculbles, je cite à titre exemplatatif! le prof professeur ermite Lomboyeya Likundelio, Simon Bulupi Galati, Christian Atama Tabe Mogodi, Ajio Gidi, Autshai Asenga ( paix à son âme ), Prof recteur de l’Université de Bunia, etc.

Depuis les gurees mileslistes, Jean scram et Bod Denard jusqu’aux dernières plus sanglantes de 1994 en 2000, 2002, la Grande Province Orientale a toujours été victime non seulement de son hospitalité légendaire mais également et surtout de pillages de toutes ses ressortissants, massacre entre deux armées Rwandaise te Ougandaise qui ont laissé les stigmates de la guerre jusqu’à ce jour bien bien le début du processus d’indemnisation part l’Ouganda marche ne dents des scies.

C’est ainsi que les consciences collectives de la jeunesse de l’ex Grande Province appuyés par les nouveauw leadership au niveau dudit espace ayant bénéficié d’un poids politique non le moindre ont résolu à travers sa jeunesse d’accompagner l’idée salvavatrice du chef de l’état soit de la révision ou carrément du CHANGEMENT de la constitution.

« Le débat la révision et/ou le changement de la constitution ressemble fort ai procès de la société congolaise.

_0 Congolais, Notre mère patrie nous nous dédions cet ouvrage A ceux de tes fils sur qui tu peux compter encere compter pour te tirer dungiuffre dans lequel d’autres parmi eux avec leurs multiples complices t’on plongé !

« Les Congolais ne se prend pas et ne prend rien au sérieux
Malgré ses bonnes intentions malgré les humilitions qu’il subit ça et là, il n’est pas prêt à devenir sérieux.
Il fait de la médiocrité sinon cheval de bataille.
Il ‘n’aspire pas à l’excellence car la
Médiocrité ne le met pas mal
A l’aise

Il a renverser l’échelle des valeurs »
Dieu ne modifie rien en un peuple, avant que Celui-ci ne change ce qui est en lui.
 » Tous les Congolais ne sont pas médiocres. Mais, si dans une société, ,.76%.des personnes d’entre elles et 25 pourcents d’elle elles sont excellents, qu’on qu’on se le dise, cette société n’est pas excellente.
Elle est médiocre.
Ailleurs, on travaillerait pour réduire le taux de médiocres. Mais au Congo, le congolais travaille pour réduire le taux des excellents.
L’intelligence n’est pas rémunérée, elle s’éteint et s’étioleDepuis les guerres mileslistes, Jean scram et Bod Denard jusqu’aux dernières plus sanglantes de 1994 en 20202, de tristement célèbre, la Grande Province Orientale a toujours été victime non seulement de son hospitalité légendaire mais également et surtout de pillages de tout genre, massacre entre entre deux armées Rwandaise et Ougandaise qui ont laissé les stigmates de la guerre jusqu’à ce jour bien le début du processus d’indemnisation part l’Ouganda marche en dents des scies.

C’est ainsi que les consciences collectives de la jeunesse de l’ex Grande Province, appuyés par les nouveau leadership au niveau dudit espace ayant bénéficié d’un poids politique non le moindre ont résolu, à travers sa jeunesse d’accompagner l’idée salvavatrice du chef de l’Etat soit de la révision ou carrément du changement de la constitution.GRAND ENJEU ; et si -Doudou fwamba Likundi Li-Botay réprente le Leadership de la Grande Orientale ?
Dans une tribune sortie par l’inter’ayio’aliste congolais Trésor Botamba Ahuka ainsi que la majorité des jeunes de l’ex Province orientale toutes tendances confondues dans les causes de la redynamissation denm leurs efforts pour le soutien salvavataire qui doit aboutir sans coup ferir à la nouvelle République, la 4 ème donc de l’histoire de notre pays, et le ciel ne tombera pas.

Les comités provinciaux des jeunes du Bas-Uele, Haut-Uele, Ituri et Tshopo, tous réunis comme un seul homme dans un affront commun sortent du silence et de ce qu’il ont considéré de la « torpeur. » A TORD D’AILLEURS.

En effet, il ressort d’un constat net, précis et clair sans nul doute, celui utilisé par mon aîné talentueux confrère journaliste Jean Stanis Bilanga Monga Mwali que : LE SOLEIL’Z S’ARRÊTERAIT PAS.

Les leaders Tshopo fort, éclairé, émergent et qui qui pour pousser notre pays vers des horizons de sa destinées s’annoncent et les signaux sont très clairs.

C’est ainsi, sans être assez gourmands, entourés des autres eminences grise de notre région, des personnalités tout aussi de grand gabarit, nous ont rejoint et nous nous sentons forts et appuyés pour accompagner l’idée salvavatrice de la 4 éme République tel qu’anoncée par le chef, de l’État à grand poste de Kisangani lors de l’un de ses meeting historiques.

Le Garant de bons conditionnements de nos institutions, nous avons cité; le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Accompagné des autres grands Leaders de la grande orientale don le leurs nombres sont incaluculbles, je cite à titre exemplatatif! le prof professeur ermite Lombeya Likundelio, Simon Bulupi Galati, Christian Atama Tabe Mogodi, Ajio Gidi, Autshai Asenga ( paix à son âme ), Prof recteur de l’Université de Bunia, etc.

Depuis les gurees mileslistes, Jean scram et Bod Denard jusqu’aux dernières plus sanglantes de 1994 en 2000, 2002, la Grande Province Orientale a toujours été victime non seulement de son hospitalité légendaire mais également et surtout de pillages de toutes ses ressources, massacre entre deux armées Rwandaise te Ougandaise qui ont laissé les stigmates de la guerre jusqu’à ce jour bien le début du processus d’indemnisation part l’Ouganda marche en dents des scies.

C’est ainsi que les consciences collectives de la jeunesse de l’ex Grande Province appuyés par les nouveaux leadership au niveau dudit espace ayant bénéficié d’un poids politique non le moindre ont résolu à travers sa jeunesse d’accompagner l’idée salvavatrice du chef de l’état celle de la révision ou carrément du CHANGEMENT de la constitution.

« e débat la révision et/ou du hangement de la constitution ressemble fort ai procès de la société congolaise« 

_0 Congolais, Notre mère patrie nous nous dédions cet ouvrage A ceux de tes fils sur qui tu peux compter encore pour te tirer du gouffre dans lequel d’autres parmi eux avec leurs multiples complices t’on plongé !

« Les Congolais ne se prend pas et ne prend rien au sérieux
Malgré ses bonnes intentions malgré les humilitions qu’il subit ça et là, il n’est pas prêt à devenir sérieux.
Il fait de la médiocrité so’ cheval de bataille, il n’aspire pas à l’excellence car la
Médiocrité ne le met pas mal à l’aise

Il a renverser l’échelle des valeurs »
Dieu ne modifie rien en un peuple, avant que Celui-ci ne change ce qui est en lui.
 » Tous les Congolais ne sont pas médiocres. Mais, si dans une société, 75%.des personnes d’entre elles et 25 pourcents d’elles sont excellents, qu’on qu’on se le dise, cette société n’est pas excellente.
Elle est médiocre.
Ailleurs, on travaillerait pour réduire le taux de médiocres. Mais au Congo, le congolais travaille pour réduire le taux des excellents.
L’intelligence n’est pas rémunérée, elle s’éteint et s’étiole. Appuyés par les nouveaux leadership au niveau dudit espace ayant bénéficié d’un poids politique non le moindre ont résolu, à travers sa jeunesse d’accompagner l’idée salvavatrice du chef de l’Etat soit de la révision ou carrément du changement de la constitution.


Internationaliste BOTAMBA AHUKA Trésor

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