Peu importe les circonstances qui ont milité à l’étouffement de la vérité, le temps finit par faire éclater cette vertue cardinale propre aux âmes nobles. L’heure a sonné de révéler la vérité telle noircie par la clique à Mboso, le vrai faux doyen d’âge.de la chambre basse du parlement.
Le Baromètre a pénétré les secrets des dieux. En effet, au moyen des espèces sonnantes et trébuchantes rapporte une source, Christophe Mboso , élu de Kenge dans le Kwango aurait hypnotisé ses collègues et damné les pions à Fumu a Panda élu lui, de Gungu, reconnu comme vrai doyen d’âge. Un habitué des couloirs du Palais du Peuple va plus loin et dénonce la supercherie de Mboso qui a toujours mis à l’écart cette question de bureau d’âge. Fumu a Panda n’en peut rien face au transfuge du FCC devenu par la magie de la politique président de l’Assemblée nationale et par deux fois president du bureau d’âge sous Tshisekedi.
Mboso a triché jusqu’à se faire traiter d’obcédé du perchoir de l’Assemblée nationale. Le viel homme politique est loin de désarmer alors que la nation le classe déjà dans le box des ménopausés dans l’art de gérer la cité. Le Kabiliste déguisé multiplie des actions et autres stratégemes pour garder sa santé. Mboso a fait de la question du perchoir de l’Assemblée nationale sa chasse gardée. Pendant ce temps , ses électeurs de Kenge broient du noir. La capitale Kwango n’a rien d’une ville pour que ses habitants qui se jettent par milliers à Kinshasa puissent se frotter les mains d’avoir l’un de ses représentants hautement placé dans les institutions.
Le vrai doyen Fumu a Panda n’en peut rien face à la machine du pouvoir symbolisée par l’actuel président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale. L’octogénaire est un candidat à la retraite politique mais hélas, au Congo , tricheurs de la trempe de Mboso , invalides et inactifs politiques, s’assurent comme des princes, une fin de carrière dorée.
Roger Makangila