Dans les jours à venir, les députés nationaux validés s’apprêtent à élire les membres du bureau définitif de la nouvelle Assemblée nationale de la quatrième législature.
Au cœur des discussions se trouve la candidature de Vital Kamerhe, figure incontournable de la politique congolaise. Souvent qualifié d’“homme fort”, son passé à la tête du parlement résonne encore aujourd’hui, suscitant l’admiration de nombreux acteurs politiques.
Les tendances actuelles semblent favorables à celui qu’on appelle affectueusement “Mwalimu” pour le perchoir. Ancien candidat présidentiel et actuel député national, il est soutenu ardemment en raison de ses qualités de pacificateur et de son engagement sans faille.
Sa réputation d’homme d’écoute et de facilité d’approche le place en pole position dans la course à la présidence de la Chambre basse du parlement. Nombreux sont les députés qui voient en Vital Kamerhe le favori pour ce poste clé.
Son départ il y a près de quinze ans de cette fonction avait marqué les esprits, mais son retour suscite l’espoir d’une gouvernance apaisée et productive. Avec lui à la tête du parlement, l’opposition aura l’espace nécessaire pour s’exprimer, les ministres seront scrutés dans l’exécution de leurs missions, et une atmosphère de respect et de collaboration pourrait régner à l’hémicycle du Palais du peuple.
Pour Jean-Claude Baende et bien d’autres élus, le président national de l’UNC incarne le catalyseur du renouveau à travers un contrôle efficace du gouvernement. Son élection à la présidence de l’Assemblée nationale pourrait marquer un tournant majeur pour la politique et la gouvernance du pays, offrant aux citoyens l’espoir d’un avenir plus harmonieux et constructif.
Nicolas Kayembe