Après des heures de polémique et de remous dus à la vidéo controversée, Fabregas Le Métis Noir a enfin fait amende honorable. Dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, l’artiste congolais a présenté des excuses sincères à sa danseuse Horline, reconnaissant implicitement son comportement déplacé qui avait choqué le public et suscité l’indignation générale.
Ce geste de Maestro Fabro marque un premier pas vers la réconciliation et la résolution de cette situation tendue. En s’excusant non seulement envers Horline mais aussi envers ses fans dans le monde entier, il montre une rare lucidité et un sens des responsabilités, rompant ainsi avec son attitude initiale de déni et de rejet de blâme.
Les critiques acerbes reçues par le chanteur l’ont poussé à prendre la parole publiquement, mettant ainsi fin à son mutisme apparent. La pression exercée sur lui semble avoir été déterminante pour l’amener à reconnaître ses torts, malgré l’inévitable permanence de son geste répréhensible.
Dans ses excuses, Fabregas exprime ses regrets profonds envers toutes les personnes qu’il a déçues et offensées. “Je sais que j’ai eu à decevoir toutes les personnes qui apprécient ce que je fais. J’en suis extrêmement désolé (…), demande-t-il.
Il se montre conscient que ses actions ne peuvent être effacées, mais il espère tout de même obtenir le pardon de son public et des femmes qu’il a blessées, reconnaissant ainsi la gravité de ses actes. “(…) Je sais pertinemment que malgré tous mes regrets on ne peut pas effacer le geste que j’ai commis. Je vous demande tout de même pardon de vous avoir fait si mal et à toutes les femmes que j’ai offensé je vous présente toutes mes excuses”, reconnaît Fabregas.
Certains observateurs estiment que cette situation servira de leçon non seulement à Fabregas mais à l’ensemble de l’industrie musicale, soulignant la nécessité de mettre fin à de tels comportements misogynes. Ils espèrent que cette affaire sensibilisera les artistes à l’importance du respect et de l’égalité dans leurs interactions professionnelles.
Nicolas Kayembe