L’âpre rivalité entre Christophe Mboso et Jonathan Bialusuka s’étend de la province de Kwango au “Palais du Peuple”, ouvrant un nouveau chapitre politique.
Les femmes de l’ABG à Kwango, fidèles à Jonathan Bialusuka, réagissent aux attaques de Blanchard Dikambi, conseiller en communication de Mboso, préparant une riposte lors de la plénière cruciale au Palais du Peuple.
Ce vendredi atypique, marqué par une pause de près de trois semaines en plénières, souligne l’urgence de mettre en place de nouveaux dirigeants pour répondre aux impératifs en suspens.
La question demeure : Mboso était-il au courant de ces événements ? Les signes d’un possible départ de la présidence deviennent de plus en plus visibles, augmentant le suspense autour de sa position.
La plénière évite encore le cas de l’honorable Fumu a Panda de Gungu, alimentant un litige qui rappelle l’agitation entourant le camp Mboso.
Un événement singulier s’est produit vendredi: le cortège de Mboso emprunte une entrée inhabituelle du Palais du peuple, soulevant des interrogations sur la signification de ces changements soudains.
Ces événements inattendus surviennent alors que la bataille pour le perchoir commence à se dessiner, créant un climat de spéculation et d’anticipation intense.
Malgré l’absence d’une date pour la confrontation au perchoir, les signes d’une transition imminente deviennent de plus en plus manifestes, laissant présager des changements majeurs.
La tension monte alors que les partisans des différents camps se préparent à réagir lors de la plénière tant attendue, où le destin politique de nombreux acteurs pourrait basculer.
L’incertitude plane sur l’issue de cette journée cruciale, où les enjeux politiques et personnels se rejoignent dans un scénario digne d’un thriller politique.
Dans l’attente fébrile de réponses et de développements, les observateurs politiques retiennent leur souffle, prêts à voir se dérouler un chapitre décisif de l’histoire politique du pays.
Antoine Botshili